Le territoire
+25 ° C H: +25° L: +24° Basse-Terre Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
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Basse-Terre est une commune, située sur la côte sous-le-vent de l’île de la Basse-Terre.
C’est le chef-lieu de la Guadeloupe, aussi principal centre administratif de l’île, Basse-Terre abrite la Préfecture, la Région Guadeloupe, le Département de Guadeloupe, le Diocèse de la Guadeloupe, le Palais de Justice, la Cour d’appel de l’archipel et le siège de la Communauté d’Agglomération Grand Sud Caraïbe.
Fondé en 1650, comme place-forte pour le commerce, le bourg est développé par les ordres religieux des Capucins, puis par l’établissement du fort Saint-Charles qui permet de contrôler tout le sud de l’île et le port de Basse-Terre.
Peu à peu, la ville devient le centre administratif et économique de l’île, mais touchée par des séries de cyclones destructeurs et sous la menace de la Soufrière, elle perd ce statut au profit du développement de Pointe-à-Pitre, tout en gardant un certain nombre de prérogatives historiques dans le domaine du judiciaire et de l’administration.
Avec ses 5,8 km² de superficie totale, la ville de Basse-Terre est une ville centre particulière par sa taille et sa position.
Le Maire : M. André Atallah
André ATALLAH, Maire de Basse-TerreLogo de la ville de Basse-Terre
Nombre d’habitants : 10 046 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville – Rue Cours Nolivos – 97100 BASSE-TERRE
Situation de Basse-TerreHôtel de ville de Basse-TerreKiosque à musique de Basse-TerreNotre-Dame du Mont Carmel à Basse-Terre
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Baillif
Le territoire
+26 ° C H: +26° L: +25° Baillif Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
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D’une superficie totale de 24,3 km² la commune de Baillif est située à l’ouest du périmètre communautaire et s’étend sur le versant occidental du massif volcanique de Basse-Terre qui se déverse dans la mer des Caraïbes.
“Territoire de patrimoine rural”, avec la découverte des roches gravées de la rivière Plessis, la commune possède les plus anciennes traces de peuplement amérindien et a été également l’un des premiers lieux de peuplement européen de l’île.
Baillif est aussi une commune agricole, anciennement réputée pour sa culture de la canne à sucre, dont elle conserve les vestiges (sucreries, batteries,…). Aujourd’hui, les terres agricoles sont essentiellement axées sur la culture vivrière et le maraichage.
Le Maire : Mme Marie-Yveline Théobald-Ponchateau.
Marie-Yveline PONCHATEAU-THEOBALD, Maire de Baillif
Nombre d’habitants : 5 404 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville – Rue des anciennes écoles – 97123 Baillif
Situation de BaillifVue aérienne Aérodrome de BaillifHotel de ville de BaillifBuste de Louis Delgrès
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Vieux-Habitants
Le territoire
+26 ° C H: +26° L: +24° Vieux-Habitants Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
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Située à l’ouest du territoire sur la côte sous-le-vent et d’une superficie totale de 58,7 km², la commune de Vieux-Habitants, initialement baptisée Habitants, a été fondée en 1636.
Il s’agit de la plus ancienne commune et paroisse de la Guadeloupe et des Antilles Françaises.
Elle est très réputée pour sa production de vanille et de café.
Le Maire : M. Jules OTTO
Jules OTTO, Maire de Vieux-HabitantsLogo de Vieux-Habitants
Nombre d’habitants : 7 154 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Situation de Vieux-HabitantsVille de Vieux-HabitantsEglise Saint-Joseph de Vieux-HabitantsMonument aux morts de Vieux-Habitants
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Bouillante
Le territoire
+27 ° C H: +28° L: +23° Bouillante Lundi, 16 Janvier Prévisions sur 7 jours
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Située à l’ouest du territoire sur la côte sous-le-vent et d’une superficie totale de 43,5 km2, la commune de Bouillante s’étend sur le versant occidental du massif volcanique de Basse-Terre qui se jette dans la mer des Caraïbes.
Fondée au XVIIe siècle, la commune doit son nom à la présence de nombreuses sources chaudes sur son territoire. Cette richesse naturelle y a permis l’implantation d’une centrale électrique géothermique
La commune est aussi un haut lieu touristique très prisée pour ses nombreuses activités nautiques et la beauté de ses fonds marins qui en font un site majeur de plongée sous-marine en Guadeloupe.
Le Maire : M. Thierry ABELLI
Thierry ABELLI, Maire de Bouillante, Président de la CAGSCLogo de la Commune de Bouillante
Nombre d’habitants : 6 935 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville – Le Bourg – 97125 Bouillante
Un budget est un acte juridique qui prévoit et autorise les recettes et les dépenses réalisées par la collectivité. C’est un acte juridique de prévision et d’autorisation financières par lequel sont prévues et définies les recettes et les dépenses annuelles de la collectivité.
Du point de vue de la technique des finances publiques, le budget n’est pas un document comptable. La comptabilité vise à retracer ce qui est exécuté, et elle sert, une fois l’exercice clos, à comparer le réel au prévisionnel. Alors que le budget est un acte a priori, la comptabilité s’exerce, par définition, a posteriori.
Tout d’abord, un budget primitif est voté par l’assemblée délibérante de la collectivité (conseil municipal, départemental ou régional selon le cas).
Le budget d’une collectivité territoriale doit toujours être voté en équilibre réel et sincère, et suivant un calendrier établi par la loi.
Il énonce aussi précisément que possible l’ensemble des recettes et des dépenses pour l’année. En cours d’année, des budgets supplémentaires ou rectificatifs sont nécessaires, afin d’ajuster les dépenses et les recettes aux réalités de leur exécution. De plus, des budgets annexes retracent les recettes et les dépenses de services particuliers.
La structure d’un budget comporte différentes parties : la section de fonctionnement et la section d’investissement, qui se composent chacune d’une colonne dépenses et d’une colonne recettes.
Toutes les dépenses nécessaires au fonctionnement de la collectivité (charges à caractère général, de personnel, de gestion courante, intérêts de la dette, dotations aux amortissements, provisions) ;
Toutes les recettes que la collectivité peut percevoir des transferts de charges, de prestations de services, des dotations de l’État, des impôts et taxes et, éventuellement, des reprises sur provisions et amortissements que la collectivité a pu effectuer. Il s’agit notamment du produit des quatre grands impôts directs locaux, de la dotation globale de fonctionnement (DGF) et de la dotation générale de décentralisation (DGD).
En dépenses : le remboursement de la dette et les dépenses d’équipement de la collectivité (travaux en cours, opérations pour le compte de tiers…) ;
En recettes : les emprunts, les dotations et subventions de l’État. On y trouve aussi une recette d’un genre particulier, l’autofinancement, qui correspond en réalité au solde excédentaire de la section de fonctionnement.
Le budget d’une collectivité territoriale doit respecter certains principes fondateurs. Ces principes sont au nombre de cinq et font l’objet d’un contrôle exercé par le préfet, en liaison avec la chambre régionale des comptes (CRC) dans le cadre de ce qu’on appelle le contrôle budgétaire :
Le principe de l’équilibre réel oblige à trouver un équilibre entre les dépenses et les recettes, non seulement au global mais aussi au sein de chaque section ;
Le principe d’annualité impose de réaliser un budget pour chaque année civile (du 1er janvier au 31 décembre), sauf domaines particuliers pour lesquels un cadre pluriannuel est envisageable ;
Le principe d’unité exige la présentation du budget sur un document unique. Certains services peuvent néanmoins faire l’objet de budgets annexes.
Le principe d’universalité implique qu’il n’est pas possible d’affecter une recette particulière à une dépense particulière ;
Le principe de spécialité des dépenses, enfin, impose de cibler le plus précisément possible le service bénéficiaire de chaque dépense.
L’application du budget est gouvernée par un principe fondamental : la séparation des ordonnateurs et des comptables.
L’ordonnateur, qui est l’exécutif des collectivités (maire, président du conseil départemental ou régional), donne l’ordre d’engager les dépenses et de recouvrer les recettes, mais ne peut pas manipuler les fonds publics. Il tient le compte administratif.
Le comptable public est chargé d’exécuter les dépenses et les recettes selon les indications de l’ordonnateur, mais il ne lui est pas subordonné. Il est responsable personnellement et sur son propre argent de ces opérations. C’est un fonctionnaire de l’État dépendant du corps des comptables du Trésor. Il tient le compte de gestion de la collectivité.
L’application du budget obéit à des règles précises faisant intervenir successivement l’ordonnateur et le comptable public.
Pour les dépenses, il y a quatre opérations, trois relevant de l’ordonnateur (phase administrative) et une du comptable (phase comptable) :
L’engagement : décision par laquelle l’ordonnateur décide d’effectuer une dépense. Elle se traduit par l’affectation des crédits nécessaires au règlement de la dépense ;
La liquidation : il s’agit de vérifier la réalité de la dette de la collectivité et de fixer le montant de la dépense ;
L’ordonnancement : c’est le mandat de paiement par lequel l’ordonnateur donne l’ordre au comptable de payer ;
Le paiement par le comptable : il procède d’abord à certaines vérifications, portant sur la régularité des opérations précédentes, et ensuite au paiement de la dépense.
Pour les recettes, se succèdent également phases administrative et comptable :
L’émission d’un ordre de recettes (phase administrative) : la collectivité constate qu’un administré doit s’acquitter d’une somme correspondant à un service qui lui a été rendu (par exemple, repas pris dans une cantine scolaire…) ;
Le contrôle, notamment de l’existence de l’autorisation de percevoir la recette, et son recouvrement, c’est-à-dire son encaissement par le comptable public, constituent la phase comptable.
Les missions de la communauté d’agglomération Grand Sud Caraïbe sont assurées par différentes directions. Le directeur général des services avec l’appui du directeur général adjoint ressources, moyens et mutualisation, du directeur général adjoint développement et aménagement territorial et du directeur général adjoint développement durable et gestion des équipements de proximité, assure la coordination de l’ensemble, sous l’autorité du président.
La brigade de l’environnement a pour vocation de réduire l’incivilité dans le domaine des déchets. Elle est chargée de mener des actions sur le terrain, en collaboration avec différents partenaires, afin de prévenir et sensibiliser les usagers sur la réglementation concernant le respect de l’environnement, spécifiquement sur l’élimination des déchets ménagers et assimilés, et de sanctionner dans le cas où la prévention ne suffirait pas. Contacts : secretariat-police@casbt.gp Tél : 0590 41 57 36 / 0690 41 45 86
La sécurité assure la sécurité des bâtiments et veille à la protection des personnes. Elle effectue un contrôle et une surveillance des accès et des rondes régulières. Elle prend les mesures qui s’imposent en cas d’infraction, d’accidents ou de risques menaçant la sécurité des biens ou des personnes. Contact: secretariat-police@casbt.gp
Mme. Denise ALY, directrice du service Marketing Institutionnel, de la Communication et de l’évaluation des politiques publiques.
Cette direction a pour mission de mettre en place et de développer la communication de tous les services de la Communauté d’agglomération Grand sud Caraïbe. L’objectif est que la diffusion de l’information soit la plus large possible, en ciblant particulièrement la population du territoire, afin qu’elle ait connaissance des décisions et des actions mises en place dans le cadre de la politique communautaire. Effectif : 4 agents.
La Direction de l’Audit et du Contrôle de gestion, sous l’autorité de M. Jean-Luc LAQUITAINE, a pour mission d’assurer la régularité financière, juridique et comptable de la collectivité. Elle contribue au respect des obligations liées au fonctionnement du budget des collectivités, des grands principes budgétaires et des règles des finances publiques locales. Effectif : 1 agent
La Direction Financière, sous l’autorité de Mme. Lydie GLANDOR-FLEURET, assure la fiabilité et la sécurité des procédures budgétaires et comptables, notamment dans l’exécution des dépenses et des recettes. Effectif : 8 agents
La Direction Informatique, sous l’autorité de M. Anthony GÉDÉON, est en charge de la gestion du parc informatique et des systèmes d’information. Effectif : 4 agents
La Cellule Ingénierie regroupe plusieurs dispositifs.
Elle s’occupe de l’animation et du suivi des dispositifs contractuels (Contrat de Relance et Transition Écologique (CRTE), CCT, Avenir montagne…)
Elle accompagne l’élaboration et le suivi de la réalisation du Plan Pluriannuel d’Investissement (PPI) y compris la mise en place des lignes de trésorerie en lien avec l’Agence Française de Développement (AFD).
Elle met en œuvre la stratégie d’accompagnement définie par l’Etablissement Public Coopération Intercommunale (EPCI) et des communes membres au montage et à la gestion de projet pour l’émergence de projets d’investissements structurants
Elle conseille et oriente en matière de dispositifs de financement dans un accompagnement technique et administratif des projets complexes. L’élaboration de plans de financement facilite l’articulation entre les différents acteurs du financement
La cellule sera renforcée dans les semaines à venir avec le recrutement :
D’un ingénieur travaux
De Volontaires territoriaux en administration (VTA) (ingénierie de projet et définition projet de territoire)
Le service de coordination de la CAGSC est rattaché directement à la Direction Générale des Services puisque c’est une volonté managériale de mettre en place une organisation plus efficace. De cette volonté naît la nécessité d’organiser et de coordonner le travail, à la formalisation de la fonction de la Coordinatrice Administrative, Mme. Marie-Laure MONLOUIS, au sein des services de la CAGSC. Celle-ci est en charge de :
la conférence des DGS.
La conférence des maires est un nouvel outil de gouvernance, complémentaire au conseil communautaire. Cette nouvelle instance de consultation et de coordination vise à renforcer le dialogue entre les maires des Communes membres et l’établissement public de coopération intercommunale (EPCI) auquel elles appartiennent. Il s’agit surtout d’une instance de débats autour « des projets communautaires à venir » ou des « actes qui devront être adoptés prochainement ».
Mme Josette HOUELCHE, Directrice des Ressources Humaines et Mutualisation.
La Direction des Ressources Humaines et de la mutualisation a pour mission de répondre à toutes les questions en matière de souhait de mobilité, de demande de formation, de déclarations d’accident, de déroulement de carrière, de retraite, de temps de travail…
Les 4 pôles de la direction du Développement des Ressources Humaines sont:
Mme Mylène MICHINEAU, Directrice du service Moyens Logistiques et Gestion patrimoniale
La Direction moyens logistiques et gestion patrimoniale est constituée des services d’Entretien intérieur, gestion des espaces verts communautaires, du nettoiement , du parc automobile et de la logistique et de la gestion patrimoniale.
Il s’agit essentiellement de services support, au personnel communautaire, aux usagers et aux communes-membres. 54 agents la composent avec une majorité masculine.
Les missions sont déclinées par service :
Leservice Entretien intérieur a comme mission l’entretien c’est-à-dire le nettoyage (balayage, vidage de poubelles et dépoussiérage) de 77 bureaux, 6 sanitaires, des couloirs, escaliers et cours. Le rôle de ce service est essentiel en termes de sécurité sanitaire du personnel et des usagers fréquentant la structure. Il était le 1er au front lors de la gestion COVID 19. Il est composé de 12 agents dont 7 femmes et 5 hommes..
Le service gestion des espaces verts intervient selon un planning établi à l’entretien des espaces verts des communes-membres, débroussaillage, élagage. Il s’agit d’une équipe de 17 agents, essentiellement masculine. Celle-ci vient en support des équipes techniques municipales sur la gestion de grands espaces. Ce service participe à la mutualisation logistique avec les communes-membres.
Le service logistiques et gestion patrimoniale réalise l’entretien technique du siège, et des annexes (Médiathèque, Complexe sportif) sur les missions de peinture, plomberie, électricité, soudure et maçonnerie. Ce service est constitué de 6 agents. Sa mission est importante en termes de sécurité des bâtiments et des personnes.
Le service parc automobile assure l’entretien et la gestion des véhicules de service (mise à disposition de véhicules). Le parc est composé d’une quarantaine de véhicules qui requièrent un entretien régulier. Il est en charge également de l’acquisition de véhicules. La gestion actuelle est assurée par un agent.
Le service Nettoiement s’occupe du nettoiement, une équipe de 14 agents assure l’enlèvement des déchets et la propreté au quotidien. C’est une équipe essentiellement masculine qui contribue à l’hygiène et la propreté des voiries en termes de balayage, de ramassage des emballages et d’évacuation des caniveaux.
M. Amédée LABINY, Directeur du service Juridique de la Commande Publique et des Assemblées
La Direction juridique de la commande publique et des assemblées est constituée de quatre services :
Le service juridique qui est chargé principalement de la gestion des contentieux. Contact mail : ccsbt2@wanadoo.fr Effectif : 2 agents
Le service de la commande publique qui intervient sur l’ensemble du processus de passation des marchés publics : lancement des consultations, publicité des appels d’offres, ouverture/analyse des offres, exécution des marchés, veille juridique. Contact mail : ccsbt2@wanadoo.fr Effectif : 4 agents
Le service des assemblées qui est chargé de préparer (avant) : collecte des projets de délibérations ; veiller au bon déroulement (pendant) : relever les conseillers présents, absents, représentés et le sens des votes ; et assurer le bon suivi (après) des conseils communautaires : rédaction des délibérations, des procès-verbaux, transmission au contrôle de légalité des délibérations et ensuite publication aux tiers. Contact mail : ccsbt2@wanadoo.fr Effectif : 2 agents
Le service des assurances qui est chargé de la gestion des contrats d’assurances des biens mobiliers et immobiliers et des sinistres. Contact mail : ccsbt2@wanadoo.fr Effectif : 1 agent
Cette direction s’articule autour de trois services :
Développement économique,
Développement numérique
Tourisme
GAL
Elle a pour mission de :
Mettre en œuvre la stratégie de développement du territoire du Sud Basse-Terre s’appuyant sur la valorisation économique des Patrimoines adoptée par le Conseil communautaire du 13 décembre 2013
Accompagner des secteurs en déclin et faisant face à des problématiques environnementales vers l’innovation
Renforcer l’attractivité du territoire
Soutenir et accompagner techniquement et financièrement les acteurs socio-économiques
M. Loïc LEROUX, Directeur du service Mobilité et Transport
Cette direction est l’autorité organisatrice de la mobilité qui gère les transports sur l’ensemble du territoire du grand sud caraïbe. Elle est en charge du transport urbain, du transport scolaire et du transport maritime.
Mme Maelen EDMOND-MARIETTE, Directrice du service Aménagement et Habitat
La direction Aménagement et Habitat est composée de plusieurs services :
Urbanisme.
Habitat/foncier/patrimoine.
La Politique de la ville est en charge de la mise en œuvre d’ une politique de développement social dont l’objectif est de lutter contre les inégalités sociales en ayant recours à des leviers socio-économiques.
La CAGSC détient et exploite la Gestion des Milieux Aquatiques et la Prévention des Inondations (GEMAPI) et le Plan Climat Air Energie (PCAET).
Service Gestion des Milieux Aquatiques et Prévention des Inondations
L’aménagement des bassins versants
L’entretien et l’aménagement des cours d’eau…
La défense contre les inondations et contre la mer
La protection et la restauration des zones humides
Le Plan Climat Air Energie (PCAET)
L’ensemble des services interagissent entre eux avec une dynamique commune. Il s’agit de mettre en œuvre des synergies croisées visant d’une part, à maîtriser la gestion des déchets en passant par une politique de réduction des déchets, de mise en œuvre de projets durables et d’amélioration, de protection, de préservation et de sauvegarde du cadre de vie.
Mme Marie-Line GEORGES, Directrice des équipements de proximité
Cette direction est en charge de la culture et du sport.
En effet, elle s’occupe de la gestion:
De la Médiathèque Intercommunale Albert Béville. Pour l’instant fermée pour travaux de désamiantage et d’étanchéité, elle nous reviendra très bientôt plus belle et plus sûre.
La communauté d’agglomération (art. L5216-1 et suivants du code général des collectivités territoriales – CGCT), créée par la loi du 12 juillet 1999, est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre.
Définition d’une Communauté d’Agglomération
Une communauté d’agglomération regroupe plusieurs communes sur un territoire d’un seul tenant et sans enclave.
Lors de sa création, une communauté d’agglomération doit former, un ensemble de plus de 50 000 habitants, autour d’une ou plusieurs communes centres de 15 000 habitants. Toutefois, ce seuil n’est pas exigé lorsque la communauté d’agglomération comprend le chef-lieu du département ou la commune la plus importante du département.
Les communes s’associent au sein d’une communauté d’agglomération en vue d’élaborer et de conduire un “projet commun de développement urbain et d’aménagement de leur territoire”. Il s’agit donc d’une forme d’intercommunalité de projet, fortement intégrée.
La loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010, soit près de 10 ans après la création des communautés de communes, donne naissance aux communautés d’agglomérations.
Le Sud Basse-Terre
La Communauté de Communes du Sud Basse-Terre (CCSBT) de 2001, avec ses 4 communes : Basse-Terre, Saint-Claude, Gourbeyre et Baillif, fait place, par arrêté préfectoral n° 2013-027/SG/DICTAJ/BRA du 2 mai 2013, à la Communauté d’Agglomération du Sud Basse-Terre (CASBT).
Elle sera rebaptisée Grand Sud Caraïbe (CAGSC) quelques mois plus tard, soit le 1er décembre 2014.
La CAGSC s’enrichit avec de plus vastes territoires, de nouvelles compétences et une redistribution des rôles des collectivités locales. Elle compte alors 11 communes, de Capesterre-Belle-Eau à Bouillante, en passant par Saint-Claude, Terre-de-Bas et Terre-de-Haut, soit 343,5 km².
En 2015, la loi de décentralisation suit son cours et en août de la même année, l’acte III en redéfinit les contours en actant la Nouvelle Organisation des Territoires de la République (Loi NOTRé).
De nouveaux domaines d’intervention pour la CAGSC qui compte en 2018, 78479 habitants (source l’INSSEE).
On observe trois types de compétences exercées par la CAGSC : les compétences obligatoires, les compétences optionnelles et les compétences facultatives.
Véritable richesse qui se transmet de génération en génération à travers les siècles, le patrimoine est ici conçu dans ses dimensions matérielles et immatérielles, comme le ciment même du peuple qui se traduit au travers des socles sociaux, culturels, naturels et technologiques.
Patrimoine Naturel
Le Sud Basse-Terre regorge d’ indénombrables spécificités naturelles. Que l’on s’intéresse scientifiquement (ou non) aux formations géologiques ou de géographie physique, aux zones définies car constituants l’habitat d’espèces animales et végétales menacées ou rares, ou aux sites naturels; ce territoire referme une biodiversité foisonnante .
Parcs et Réserves
La luxuriance de la forêt humide, et le caractère exceptionnel de la faune et de la flore , du sommet de la soufrière jusqu’aux abysse des plateaux pélagiques ont suscité l’instauration de différents types de préservations. En effet tout l’archipel constitue un haut lieu de la biodiversité mondiale. A ce titre, il est classé réserve de la biosphère par l’UNESCO.
Le Parc National de la Guadeloupe un espace de préservation du patrimoine naturel.
Le Parc National se compose d’un espace maritime et d’un espace terrestre exceptionnels qui comporte les sites les plus remarquables de Guadeloupe.
Le sud Basse-Terre structure particulièrement le cœur du par avec ces sites majestueux de la côte sous le vent et des ilets Pigeons au Nord-ouest, du massif volcanique de la soufrière au sud ou des chutes du Carbet au Nord est. http://www.guadeloupe-parcnational.fr/fr
Lancé en 1982, l’inventaire des Zones Naturelles d’Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique (ZNIEFF) a pour objectif d’identifier et de décrire, sur l’ensemble du territoire national, des secteurs de plus grand intérêt écologique abritant la biodiversité patrimoniale dans la perspective de créer un socle de connaissance mais aussi un outil d’aide à la décision (protection de l’espace, aménagement du territoire).
La Coche et les Augustins (habitats d’oiseaux au sud de Terre de Bas) fiche
Grand et Petit îlets de Pigeon (au large de Bouillante) fiche
Littoral de Trois-Rivières de Grande Pointe à Pointe de l’Acomat fiche
Outre ces trésors naturels, les habitants du sud Basse-Terre héritent, de par sa riche histoire, d’un ensemble de pratiques, us et coutumes, consubstantiels au patrimoine guadeloupéen mais pourtant si singulier.
Tout comme le créole guadeloupéen est à nul autre pareil, quiconque porte attention entendra cette intonation inimitable dans le créole des gens du sud Basse-Terre.
L’ architecture est le témoin d’une histoire riche et complexe, de l’arrivée des premiers colons à nos jours. Elle est caractérisée par une grande diversité de styles, allant de l’architecture traditionnelle créole à l’architecture contemporaine.
Le patrimoine religieux remonte au XVIIe siècle, avec la construction de l’église de Vieux-Habitants en 1639. D’autres églises ont suivi, témoignant de la forte influence de la religion catholique dans la culture guadeloupéenne. Parmi les églises les plus remarquables, on peut citer l’église de Terre-de-Haut, construite en 1839, ou encore l’église Notre-Dame-de-Guadeloupe, située à Basse-Terre, construite en 1660. A ce propos d’autres cultes religieux sont l’occasion de remarquables édifices qui valent le détour (temples hindous de Capesterre Belle Eaux…)
La typologie de la case créole est un élément essentiel de l’architecture de la Guadeloupe. Les maisons en bois, construites sur pilotis pour résister aux inondations, sont caractérisées par leurs toits en pente raide, leurs grandes vérandas et leurs volets colorés. Les cases créoles les plus anciennes datent du XVIIIe siècle et ont été influencées par les styles africains, amérindiens et français. Le charme sans pareil des cases en bois d’essentes, traduit d’un savoir faire de la part des tailleurs de métiers, et d’un sens de l’esthétisme tout caractéristique.
Parmi les maisons remarquables du Sud Basse-Terre, on peut citer les maison Chapp ou Coquille à Basse-Terre . Ces maisons témoignent de l’histoire de la Guadeloupe et de son patrimoine architectural unique.
L’architecture liée à l’eau est également un élément important de l’architecture guadeloupéenne. Les canaux d’irrigation et les systèmes de drainage, construits dès le XVIIe siècle, ont permis le développement de l’agriculture sur l’île. Les moulins à eau, utilisés pour moudre la canne à sucre, sont également des éléments importants de l’architecture liée à l’eau.
Les bâtiments Ali Tur, construits dans les années 1960 et 1970, sont des exemples de l’architecture contemporaine de la Guadeloupe. Ces bâtiments en béton, conçus par l’architecte turc Ali Tur, sont caractérisés par leur forme organique et leur intégration dans le paysage.
Les ouvrages d’art, tels que le pont de la Rivière des Pères, construit en 1903, sont des éléments structurants de l’architecture de la Guadeloupe. Ces ponts témoignent de la capacité de l’homme à s’adapter à l’environnement naturel de l’île.
Enfin, l’art et l’architecture funéraires sont également des éléments importants de l’architecture de la Guadeloupe. Les tombes en pierres, construites dans les cimetières du Sud Basse-Terre donnent ainsi un caractère spécifique aux sépultures de ce territoire qui se distinguent d’autres pratiques de Guadeloupe.
La musique de Guadeloupe est profondément ancrée dans l’histoire et la culture de cette île des Antilles françaises. Elle est le fruit d’un métissage entre les différentes cultures qui ont marqué l’île, notamment celles des Amérindiens, des Européens, des Africains et des Asiatiques. L’un des grands noms de la musique guadeloupéenne est Joseph Boulogne, plus connu sous le nom de Saint-George. Né en Guadeloupe en 1745, il est devenu un virtuose du violon et a contribué à populariser la musique classique dans son île natale.
Le GwoKa est l’une des musiques emblématiques de la Guadeloupe. Il s’agit à la fois d’une musique et d’une danse héritées des esclaves, qui ont transmis leur culture musicale et rythmique à leurs descendants. Les rythmes du GwoKa sont porteurs de nombreux messages et racontent l’histoire de la Guadeloupe et de ses habitants. Les 7 rythmes spécifiques à la pratique de ce tambour en Guadeloupe sont le Kaladja, le Menndé, le Léwoz, le Padjanbèl, le Woulé, le Graj et le Toumblak.
Chaque rythme a sa propre identité sonore et rythmique, et les oreilles affinées peuvent percevoir les différences d’accentuation entre les différents rythmes. Par exemple, les sons aigus du rythme en Grande Terre ont une accentuation très forte, tandis que les sons graves en Basse-Terre ont une atmosphère rythmique plus fluide et marquée en médium.
Le rythme Léwoz est particulièrement important dans la culture guadeloupéenne. Il a donné son nom au rassemblement festif et populaire autour du tambour qui se tenait tous les quinze jours (payes) aux alentours des habitations. Les participants dansent et chantent en créole guadeloupéen, créant ainsi un moment de partage et de communion.
Outre le GwoKa, il existe d’autres genres musicaux , tels que le Mas à Wobè qui au carnaval cadence les déboulés mythiques des groupes à peau tranchant des fastes tout aussi parodiques des groupes à caisses claires, (reconnaissables à l’utilisation entres autres d’ instruments de percussion de musique militaire et populaire);
Enfin, la musique guadeloupéenne est souvent associée à l’artisanat local, qui créent des instruments de musique traditionnels tels que les tambours Ka, les maracas et les chacha. Ces instruments sont des symboles de la richesse culturelle de la Guadeloupe et témoignent de l’importance de la musique dans la vie des Guadeloupéens.
C’est aussi le théâtre de la scène de pêche retracée sous le pinceau du maître Georges Rohner (1913-2000), aujourd’hui classées Monument Historique.
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Le territoire
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Un territoire riche, diversifié qui se caractérise par une nature exceptionnelle
Le territoire du Sud Basse Terre abrite les principales richesses naturelles de l’archipel avec la présence du Parc naturel régional, le volcan de la soufrière et une surface littorale attractive et variée entre côte-au-vent et côte-sous-le-vent. La nature et la biodiversité, sous toutes ses formes, caractérisent ce territoire qui accueille plus de la moitié des visiteurs de la Guadeloupe.
La destination « Grand Sud Caraïbe », caractérisée par des paysages exceptionnels très diversifiés (forêts, plaines alluviales, marécages, montagnes, plages…), par une couverture verte exceptionnelle dans les petites Antilles et par un climat tropical, se voit également traversée par plusieurs rivières et cours d’eau. On peut noter l’importance du littoral maritime et un port pour la quasi-totalité des communes de l’agglomération.
Un territoire à préserver où les acteurs publics se mobilisent pour un développement maîtrisé et équilibré
Avec sa géographie particulière et son climat tropical, le territoire se voit exposé à de nombreux risques naturels. Aussi, l’agglomération et les communes membres se mobilisent pour préserver les espaces naturels, favoriser le développement d’une économie maîtrisée et maintenir une agriculture raisonnée, de proximité et valorisant les cultures locales.
L’agglomération se mobilise également aux côtés des communes membres pour promouvoir un écotourisme et des formes de découvertes respectueuses de l’environnement autour de l’authenticité, des traditions locales mais également en permettant de découvrir une très riche offre patrimoniale et de nombreux événements sportifs et de loisirs. A ce titre, le territoire accueille la commune chef-lieu du département, Basse Terre, ville d’art et d’histoire,
Un territoire qui propose une offre de service public riche et adaptée aux besoins des usagers
La destination est globalement bien dotée en équipements scolaires, culturels, sportifs et artistiques que l’on retrouve en nombre. On note également une offre de services commerciaux du quotidien diversifiée et bien équilibrée sur l’ensemble du territoire : banques, commerces, artisanat…
Le déploiement à venir du haut débit va permettre de renforcer l’attractivité du territoire en proposant un cadre de vie exceptionnel, préservé et proche de la nature, des services de proximité autour d’un pôle administratif majeur et une bonne desserte routière tout le long de la façade maritime.
Un territoire qui assure le maillage de service autour d’une communauté d’agglomération en devenir
Créée par arrêté préfectoral n° 2013-027/SG/DICTAJ/BRA du 2 mai 2013, la communauté d’agglomération Grand Sud Caraïbe, dont le siège se situe à Basse Terre, est composée de 11 communes pour une superficie de 345,45 km2, elle abrite 82 330 habitants. La CA Grand Sud Caraïbe représente 21 % de la superficie et 20 % de la population de la Guadeloupe.